Compte-rendu de la première journée du Congrès 2018 par Alexandre Soucy.

Journée d’ouverture du 47ième congrès de l’AAQ. Dès 8h00, les organisateurs étaient à peaufiner les derniers préparatifs, tandis que les exposants achevaient la mise en place de leurs kiosques. À cette heure, déjà les lève-tôt se retrouvaient pour échanger, un café et un croissant à la main.

À 10h30, j’assistai à la conférence sur le projet de centre de conservation du Mouvement Desjardins; l’enthousiasme des deux conférencier-es a fait de cette première conférence un excellent coup d’envoi. Le buffet du midi fût ensuite l’occasion de discuter avec nos collègues, tout en absorbant l’énergie nécessaire pour l’après-midi : 2 conférences à venir tout de même! J’ai pour ma part assisté à la session étudiante fixée pour 13h45, et ce fût un véritable coup de cœur; la diversité, l’originalité du contenu ainsi que la fluidité des exposés m’a littéralement enchanté. L’après-midi s’est terminé avec une présentation rapide sur le patrimoine industriel et sur l’importance, d’un côté, de convaincre les entreprises quant à la conservation de leurs archives, et de l’autre, de rejoindre le public par une mise en valeur dynamique et axée sur l’ingéniosité souvent sous-jacente à l’objet industriel lui-même, peu importe son âge.

Enfin, tous furent réunis dans la grande salle pour la conférence d’ouverture. Le mot du président, dynamique et fort agréable, lança le bal avec brio, suivi du conférencier invité de Suède, monsieur Anders Sjöman, du « Centre for Business History » de Stockholm. Ce dernier présenta, avec plusieurs exemples visuels et pertinents, toute l’importance de la mobilisation de l’histoire des entreprises dans l’organisation de leur avenir. En bref, une première journée chargée et bien orchestrée !